
Les fenêtres m'intéressent, et non seulement les fenêtres mais les gens qui vivent dans elles, le gent qui parle, mange, rie, dorme et fait sa vie.
Les gens qui vivent derrière ces fenêtres, la multitude qui d'une forme si particulaire se observe à lui même sans même arriver à penser qu'il est observé.
Quand je suis arrivé à paris je suis resté surprise quand j'ai regardé les édifices et quand je voyais qu'on pouvait parfaitement observer la vie des gens.
Les fenêtres de Paris, énormes, de grandes vitres et le grand part d'elles sans des rideaux, cette espèce en tissu qui réalise la fonction physique et psychologique de couvrir une réalité ce que nous ne voulons pas qu'il soit vu et qu'il peut se traduire par confidentialité.
J'ai vu des gens en parlant, en lisant, des familles en mangeant, J'ai vu la vie derrière quelques vitres.
Il m'a paru vraiment intéressant le concept de l'individualisme lequel on crée aux alentours de toute cette bulle de la confidentialité, de comme il est égal aux gens qu'ils les voient ou pas parce qu'ils font sa vie sans importer même si une camera peut filmer ses moments les plus quotidiens.
La photo c'est une peinture de Alyssa Monks "WINDOW"
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